J'espère que vous avez apprécié mon dernier article de blog qui traitait des différences entre le monde analogique et le monde numérique, et de la manière dont cela nous amène à débattre de la question de savoir si SEND doit représenter les données que nous collectons ou les données que nous rapportons.
Dans la foulée, cette discussion sur l'analogique et le numérique m'a rendu un peu nostalgique. Si, comme moi, vous êtes d'un certain âge, je suis sûr que vous vous souvenez avoir dû vous rendre dans un magasin de location de VHS pour regarder un film en soirée, ou avoir dû attendre des jours pour faire développer vos photos. À l'époque, vivre dans un monde analogique sans streaming signifiait que les choses prenaient du temps.
Pourtant, il semble aujourd'hui que le monde entier soit devenu plus rapide grâce aux données numériques et aux formats normalisés. Alors pourquoi entendons-nous parler d'études bloquées dans l'embouteillage SEND ? Pourquoi les temps d'attente pour les conversions SEND augmentent-ils et pourquoi certaines organisations semblent-elles avoir un arriéré SEND qui ne cesse de croître ?
Lors d'une récente réunion de l'industrie, la FDA a posé des questions sur l'impact de SEND et sur le temps nécessaire pour convertir une seule étude. Alors que la moyenne d'Instemest de 4 semaines, le consensus s'est fait sur une moyenne de 8 semaines de temps écoulé.
Dans le monde numérique, nous nous attendons à ce que les choses aillent plus vite, et non plus lentement, alors pourquoi ce temps supplémentaire nécessaire après la création des annexes analogiques désuètes ?
Il est donc clair qu'il s'agit de données d'évaluation de la sécurité et non de simples photos de vacances. En tant que tels, les ensembles de données SEND ne sont pas acceptés naïvement lorsqu'ils sortent de la machine pour la première fois. Leur exactitude et leur conformité sont vérifiées et des êtres humains décident si les données sont restituées de la manière la plus adaptée à l'étude. Cet élément subjectif est souvent celui qui prend le plus de temps, et ce parce que l'interprétation de la norme SEND elle-même est très subjective.
Ce ne sont là que quelques-uns des facteurs, et tous ces éléments prennent du temps. Il existe donc de bonnes raisons légitimes d'expliquer pourquoi les conversions SEND ne sont pas aussi instantanées que la simple diffusion en continu de Netflix un vendredi soir. C'est un peu comme restaurer un vieux film de 35 mm pour en faire une expérience multimédia haute définition. Tout comme le SEND, cela demande du temps et de l'expertise, et les résultats peuvent certainement varier en qualité.
Les organisations ont plus de choix que jamais, y compris les services informatiques internes pour créer des SEND. Il est essentiel qu'elles aient les bons partenaires et collaborateurs SEND pour s'assurer qu'elles répondent aux exigences des sponsors, de la FDA et de tout autre consommateur de données.
Comme toujours, si vous souhaitez poursuivre cette conversation, ou si vous avez un sujet que vous aimeriez que j'aborde, écrivez-moi.
Jusqu'à la prochaine fois
Marc
